Littérature étrangère
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Célestine Hitiura Vaite
L'Arbre à pain
Traduit de l'anglais (Australie) par Henri Theureau
10/18
20/05/2021
408 pages, 8,40 €
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Dossier de
Marianne Kmiecik
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❤ Lu et conseillé par
8 libraire(s)
- Karine Clugery de Les Mots voyageurs (Quimperlé)
- Marie Hirigoyen de Hirigoyen (Bayonne)
- Sarah Gastel de Adrienne (Lyon)
- Marianne Kmiecik
- Anne Baudinet de L'Oiseau Lire (Visé)
- Véronique André de Baba-Yaga (Sanary-sur-Mer)
- Elsa Simmonet de Develay (VILLEFRANCHE SUR SAONE)
- Laetitia Roulier de Gutenberg (Issy-les-Moulineaux)
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Célestine Hitiura Vaite
Frangipanier
Traduit de l'anglais (Australie) par Henri Theureau
10/18
20/05/2021
360 pages, 8,10 €
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Dossier de
Marianne Kmiecik
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❤ Lu et conseillé par
5 libraire(s)
- Karine Clugery de Les Mots voyageurs (Quimperlé)
- Marie Hirigoyen de Hirigoyen (Bayonne)
- Sarah Gastel de Adrienne (Lyon)
- Marianne Kmiecik
- Isabelle Verlingue de Nicole Maruani (Paris)
✒ Marianne Kmiecik
L’Arbre à pain et Frangipanier, premier et deuxième volets d’une truculente trilogie tahitienne, initialement éditée par les éditions Au vent des îles, paraissent en poche aux éditions 10/18, pour notre plus grand plaisir !
À l’origine de cette trilogie foisonnante, il n’était qu’une nouvelle, écrite en anglais : l’histoire d’un agent d’une compagnie d’électricité venu couper le courant chez une mère de famille et ses quatre enfants, dans un quartier populaire de Tahiti. Rapidement remarqué par un éditeur, le texte fut le premier pas de l’auteure dans l’écriture ! Née à Tahiti au milieu des années 1960, Célestine Hitiura Vaite part pour l’Australie quand elle a 20 ans. Souffrant du mal du pays, elle commence à écrire sur ses origines, sa famille et la vie à Tahiti. Avec son ton vif et tout en légèreté, elle nous embarque dans la vie pleine de péripéties de Materena, femme de ménage, mère de quatre enfants, et de toute sa famille : son mari, Pito, un brin fainéant et macho, sa mère, sa grand-mère et tout un tas de cousins, cousines, oncles et tantes qui gardent toujours un œil scrutateur et critique sur les agissements des membres de la famille. L’affection dont témoigne Célestine Hitiura Vaite à l’égard de ses personnages et de son île n’enlève rien à la capacité de l’auteure à témoigner des difficultés, des carcans et des pesanteurs de la société tahitienne. Véritable succès en langue anglaise (plus de 500 000 exemplaires vendus, traduit dans plus de dix-sept pays), cette fresque familiale saura vous emporter pour un voyage haut en couleur ! Laissez-vous bercer par le rythme de la vie et des humeurs de Materena, vous serez conquis par son humour, son franc-parler et sa ténacité ! Une belle découverte, parfaite pour les lectures détente de l’été !