Chronique La Seule Histoire de Julian Barnes

- Julian Barnes
- Traduit de l’anglais par Jean-Pierre Aoustin
- Folio
- 01/02/2020
- 8.50 €
14 libraire(s)
- Laurence Behocaray de IUT Carrières Sociales - Site Jean Luthier - Université de Tours (Tours Cedex)
- Emmanuelle Barbier-Maître de du Cours (Lyon)
- Linda Pommereul de Doucet (Le Mans)
- Valérie Faucon de Graffiti (Castres)
- Nathalie Iris de Mots en marge (La Garenne-Colombes)
- Annie Maubourguet de Le Jardin des lettres (Andernos-les-Bains)
- Valérie Ohanian de Masséna (Nice)
- Lucile Frassy de L'heure des mamans (Versailles)
- Christophe Aimé de M'Lire Anjou (Château-Gontier)
- Sébastien Balidas de M'Lire (Laval)
- Mathilde Boudinet de Chantepages (Tulle)
- Bertrand Lamure de des Marais (Villefranche-sur-Saône)
- Sandrine Babu de L'Instant (Paris)
- Jérémy Derny de L'impromptu (Paris)
Valérie Ohanian Librairie Masséna (Nice)
Pour tromper son ennui durant son dernier été avant l’université, Paul s’inscrit au tennis club du Village, la petite ville dans laquelle il a grandi. À 48 ans, Susan est une femme belle et drôle. Excellente joueuse, elle est assidue au club de tennis. Lors d’un tournoi amateur, les deux protagonistes font équipe et leur complicité sur le court se développe aussi à la ville. Susan, un brin provocatrice, déclare que : « Tout jeune homme devrait avoir une réputation ». Sous le charme de cette femme tellement différente des autres qu’il côtoie, Paul la convainc d’entamer une liaison faisant fi de leur différence d’âge ! Mais sous l’opprobre du village, ils partiront à Londres vivre leur amour. Paul est maintenant un homme mûr, il nous raconte la seule histoire, la fondatrice, celle pour qui on risque tout. Surtout dans les années 1960, surtout à 19 ans. Julian Barnes, toujours aussi subtil, nous conduit au plus profond des cœurs.