Les Prix de l'Automne
⌨ L’entretien
de Emmanuelle Pouydebat
par Mylène Rodriguez
Librairie
La Machine à Lire à Bordeaux
Les animaux ont-ils conscience de la mort ? Une étude inattendue, passionnante et drôle aussi ! Un texte rigoureusement scientifique accompagné d'illustrations qui déroulent une pensée novatrice, sérieuse mais avec humour. Ce sujet sensible et touchant n'en devient que plus enthousiasmant !
Prix Nos Humanités 2026 : les 10 titres en lice
Focus sur Une journée farfelue de Eva Serena Pavan
Les coups de foudre des libraires en Beaux livres
Audrey Faulot, « Moonwalk » , Gallimard Jeunesse
Ils font la Rentrée !
Le coup de ❤
de Guillaume Chevalier
Librairie Mot à mot à Fontenay-sous-Bois
Voici l’histoire d’un chapitre méconnu et glaçant de l’histoire américaine : la tentative de coup d’État fomentée par une caste de financiers de Wall Street pour renverser le président Franklin D. Roosevelt, jugé trop socialiste.
Premiers Romans
Ils sont sortis en poche !
✒ Mais qu’a-t-il/elle écrit d’autre ?
Estelle Faye
Estelle Faye a été comédienne, brièvement scénariste, et elle a dirigé sa propre troupe de théâtre. Aujourd'hui elle écrit des romans et des nouvelles, pour adolescents et adultes, dans divers genres de l'Imaginaire, fantasy, science-fiction, fantastique historique, post-apocalyptique mâtiné de roman noir... Elle a reçu près d'une dizaine de prix littéraires, dont deux Prix Elbakin, deux prix Imaginales, un Prix Rosny Ainé et un Prix de l'Uchronie. En 2018, elle se lance avec Les Guerriers de Glace chez Nathan dans la littérature pour un plus jeune public, tout en restant dans la fantasy.
Estelle Faye
L’Héritier des fées
Nathan
352 pages, 18,95 €
Estelle Faye
Les Ombres de Willowthorne
Rageot
528 pages, 17,90 €
Estelle Faye
Le Défi de Yaran
Rageot
60 pages, 5,10 €
Estelle Faye
La Dernière Amazone
Rageot
21,90 €
Secousse graphique
Adèle Tariel
Peuple de plumes
Père Fouettard
96 pages, 14 €
Canizales
Préanimal
Père Fouettard
80 pages, 12 €
« Lire, c'est aller à la rencontre d'une chose qui va exister. » — Italo Calvino